Alexandrie. L'histoire de la cité appartient au sol. Il y garde jalousement ses secrets intimes. Plus haut en surface, les murs s'amusent à répondre en écho aux civilisations passées. Les facades s'y abiment sans se soustraire au temps.
Quartier du souk aux légumes. Une paroi lumineuse, jouant de ses teintes annonce la mue biologique d'une cité réinventée, par couches successives, qui s'efface, apparaît, témoigne des lustres d'hier et de la palette colorée de demain.
Un tableau presque abstrait, fruit du hasard, conjuguant harmonie, fragilité, altérité des formes et matières. Bref une découverte au détour d'une rue, sans protection, magnifié, saisie d'un clic et si poétiquement éphémère.
4 commentaires:
Ah que tu parles bien bertrand! c'est toujours une poésie pleine d'émotion et une vibration de te lire comme de t'écouter! Met donc un peu des peintures aborigènes que tu viens d'acquérir pour en avoir encore plein les yeux. Cyril
C'est sympa d'avoir de tes nouvelles. Depuis ton commentaire je n'ai pas manqué de rajouter quelques peintures. Mais j'ai quelque peu freinait mes acquisitions. Budget oblige. Bàt,
Remarque, je t'ai toujours connu "freinant" tes achats. Sauf quand tu craques...
Hello Cyril,
C'est juste. Mais bon tout est une question de mesure. Et je crois que ce temps est arrivé. Peux-tu me renvoyer tes coordonnées en utilisant l'adresse e-mail : bestra71@gmail.com
A+
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