A Rosette, dans cette petite ville d'Egypte se rencontre les frontières du Nil et de la mer Méditerranée. Une barre de vagues indique la limite des eaux. C'est également dans cette cité que les limites de la connaissance des hiéroglyphes furent franchies, avec la pierre de Rosette, trouvée dans les murs du fort de Qaitbay. Caractères en hiéroglyphes, en démotique, et en grec, permirent à Champolion de déchiffrer l'écriture Egyptienne. Bien que les Français trouvèrent la pierre à l'époque de Napoléon, celle-ci fut reprise par les anglais menés par Nelson. Champolion travailla ainsi non pas sur l'original mais uniquement sur les relevés des scientifiques de l'époque, l'objet étant rapporté à Londres.
Ce pêcheur, assis sur son bateau, le visage protégé du soleil d'un mois de décembre, reprise les mailles de son filet. Un travail de précision et de longue haleine. Il me rappelle mes pêches aux bouquets de crevette en Atlantique et tous les fils à arranger. La tête blanche se détache dans un effet de camaïeu sur la couleur jaune et ocre des bouchons. Les combinaisons de couleurs se répondent habilement, comme par paire, des filets, cordages, aux éléments tout autour.
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